Qui es-tu ? : Immortel usé de 610 ans • Torturé et incisif, sentimental et indiscipliné • A grandi dans les traditions de l'Est et parcouru une partie du monde • Musicien virtuose • Libertaire dans l'âme • Sire d'Elinor Lanuit • Déclaré mort en 1895, il réapparait seulement aujourd'hui • En marge du monde moderne
Facultés : • Voie du sang : Niveau 4-1
Goûteur de sang professionnel. Source de vie et de puissance pour lui-même et ses congénères, il sait le sonder, le manipuler et le sublimer. Attention, il lui arrive de le voler...
• Présence : Niveau 1-4
Sait attirer l'attention sur lui et forcer l'adhésion
• Voile cendré : Niveau 1-1
Perçoit naturellement brièvement les esprits, mais s'il concentre son sang, c'est l'intégralité du plan semi-astral qui se révèle à lui
Date et lieu de naissance 15 avril 1372 à Dijon, France
Nationalité Français de naissance et de cœur irrémédiablement, une partie de son héritage vampirique vient de l’Europe de l’Est cependant
Profession Musicien pluriel et compositeur compulsif
Lieu d’habitation Hébergé temporairement par l'Essaim à l'Hotel de la Régence
Situation financière Correcte, sans plus. Il a connu la misère comme le grand luxe. Il a dépensé sans compter avant de tout perdre encore. Il fait aujourd’hui avec ce qu’il a, sans excès, tout bonnement.
Sire Erzsébet – Elisabeth - Báthory, comtesse hongroise tumultueuse. Son âme sœur, déchue.
Étreinte 9 novembre 1412
Disciplines Voie du Sang, Présence et Voile cendré
Clan Jean se tient à l’écart des clans depuis longtemps et arrive à Shreveport en revenant. Un ami de l'Est lui a pourtant laissé le contact de Lupesco, alors il n'est pas impossible qu'il fasse un essai dans le Clan Dalzell un moment.
TEMPÉRAMENT
CaractèreEn six siècles d’existence, Jean a été balloté et façonné par la vie. Il grandit vampire sous l’influence des mentalités de l’Europe de l’Est, y découvrant sa nouvelle nature, y apprenant à cohabiter avec sa Bête et observant en même temps tous les travers du monde de la nuit. Puis il voyage vers l’Asie pour mieux cerner le champ de ses possibilités : la Russie, les Indes. Pour revenir chez lui, en France, où ses réelles aspirations s’imposent enfin à lui. La Musique. La Révolution. Il grandit, il infante. Avant de sombrer dans une torpeur interminable au réveil difficile.
Aux prémices de tout ça, sa vie d’homme pourrait être insignifiante. Mais elle reste la source de son essence et aura scellé dès le premier jour son identité. Car une révolte sourde gronde en lui depuis toujours. Déjà adolescent, il est insolant et fait preuve d’un humour mordant. Bien que les décennies l’aient assagi, l’impertinence lui chatouille toujours constamment le bout de la langue et lui a joué plus d’une fois des mauvais tours. Il faut dire qu’il prône des valeurs. La plus chère à son cœur : la liberté. Inconditionnelle. Inaccessible. Il n’est pas naïf et s'il a fait une croix dessus depuis fort longtemps, il aime toujours en gratouiller l’idée, casser les codes. Alors une chose est sûre : il n’en fait toujours qu’à sa tête !
Entier, il sait tout donner pour ses passions ou les gens auxquels il s’attache. Depuis son Réveil, il s’est pourtant retranché dans une solitude absurde, qui le consume. Car en dépit de sa désinvolture, Jean reste un écorché vif, trainant après lui le fardeau de sa malchance et de ses erreurs. Il peine à s’accrocher à cette nouvelle époque et sa modernité. Il ne reconnait plus le monde et encore moins le sien. Tout est différent. Tout reste figé pourtant. Alors qu’il ne croit plus en grand-chose, en dehors de la musique, la Révélation provoque définitivement en lui un regain d’énergie et lui ouvre de nouvelles perspectives.
Jean est donc principalement un mélomane incisif. Un immortel, sentimental et indiscipliné, à la marge. Mais l’aura qu’il véhicule, de part son âge et ses origines, offre à ses semblables une autre perspective. Celle d’un vampire puissant et redoutable. Effectivement.
UNE NUIT DANS VOTRE PEAU
Jean est un Ainé. La nuit se fait pour lui de plus en plus courte, sa productivité éveillée aussi. Il se serait rendormi probablement pour toujours si la musique n’avait pas maintenu ses sens en activité pour lui permettre de s’évader. Ses nuits se découpent généralement en deux axes, selon son humeur et ses envies.
Le principal et celui qui a occupé presque tout son temps ces dernières décennies, c’est la routine : apprendre, jouer, improviser, créer. Il est évidemment question d’instruments et de mélodies. Ancien féru de musique classique, et grand joueur de cordes et claviers en tout genre, il est trop touche-à-tout pour y être resté cantonné et a grandement enrichi son répertoire depuis son Réveil en suivant d’autres tendances.
Depuis le début du XVIIIe siècle, c’est dans ce domaine qu’il gagne principalement son argent, quand il ne dépense pas simplement celui des autres. Il ne découvre cette passion que sur le tard, à plus de 200 ans. Elle comble rapidement un vide dans son existence et transcende finalement toutes ses espérances. C’est son moyen d’expression le plus abouti. Ses facultés de vampire lui offrent l’oreille absolue, mais son talent va au-delà : il est capable d’imaginer distinctement l’intégralité d’un orchestre uniquement dans sa tête. C’est ainsi qu’il s’adonne rapidement avec succès à la composition.
S’il cherchait au tout début le retour des autres, et une certaine forme de gloire, il s’en moque complètement dorénavant et compose principalement pour lui-même. Il ne gagne sa vie aujourd’hui qu’avec quelques musiques de films et des royalties de publications datant des années 90. Une activité minimaliste qui lui permet de subsister la plupart du temps sans trop d’effort tout en lui laissant du temps pour des créations plus personnelles et peu accessibles au tout-venant. Et pour embrasser les nouvelles aventures excitantes qui l’attendent !
Car Jean a aussi parfois des phases - qui peuvent durer plusieurs années ! – d’exploration où il quitte son abri dès qu’il sort de sa torpeur pour se mêler au monde extérieur. Il ne tient alors pas en place. C’est le cas aujourd’hui alors qu’il vient de traverser l’Atlantique. La Louisiane est un nouveau terrain de jeu, où la Révélation comme le Jazz lui donnent de sérieuses envies d’évasion !
Au milieu de ça, sa Soif fluctue selon ses efforts et ses activités et il n’en fait pas toujours une nécessité. Il lui arrive fréquemment de sauter un repas, lors des nuits particulièrement calmes.
Caractéristiques de race
Voie du Sang
4
Présence
1
Voile cendré
1
L’entrée de Jean dans le monde du surnaturel se fait par une rencontre. Celle d’une femme magnétique, aux idées atypiques, de laquelle il s’éprend et qui pour une raison mystérieuse, jette aussi son dévolu sur lui. L’homme fantasme son univers avant même de le rejoindre. Au fil des années la désillusion est de mise. Il ne regrette jamais pourtant sa transformation et s’est accoutumé de sa condition. Ses inconvénients comme ses avantages.
Aujourd’hui, la vieillesse grignote progressivement son esprit, mais il est toujours plus à l’aise avec son corps, qui continue de lui révéler sa puissance. Et sa force principale et son arme la plus redoutable est son obsession pour le Sang. Plus encore que la plupart de ses congénères. C’est aussi sa plus grande faiblesse. Héritée de sa Sire, cette fascination comme sa Soif ont guidé ses premiers pas de vampire, au-delà du raisonnable. Quand ce n’était pas la Bête en lui qu’il l’intimait, c’était sa Maitresse qui l’encourageait. S’il a pris le dessus depuis fort longtemps sur ces pulsions anciennes, leurs souvenirs réveillent en lui une nostalgie véritable et nourrit parfois ses plus sombres fantasmes. La Voie du Sang est aujourd’hui de loin son don le plus travaillé. Il sait le sonder et le manipuler, que ce soit sur lui ou ses congénères, pour le sublimer.
Il sait aussi l’extraire incognito, en petite quantité, du corps de ses victimes, pour se nourrir. La plupart du temps, il puise néanmoins sa source de vie à l’ancienne, par l’intermédiaire des Calices. Il en fait généralement des compagnons fiables, mais n’a jamais réitéré l’expérience d’avoir un Marqué. Un tel partenariat lui manque certainement pour se raccrocher à son époque et tout ce qu’elle propose, mais ça reste au-dessus de ses forces.
Ses autres dons sont alors nettement plus anecdotiques. Jean a élevé sa Présence, qu’il a transmis à son Infant, à un niveau qui lui parait suffisant. Il faut dire qu’il ne l’utilise plus guère. Quant au dernier, il y a été initié brièvement il y a bien longtemps maintenant et ses rares voyages au-delà du Voile relèvent à ses yeux de la simple distraction.
AFFILIATION ET OPINIONS
Jean n’est jamais pleinement rentré dans le moule. Il a horreur des règles et des contraintes. Il s’est toujours trouvé en décalage des clans traditionnels qu’il a soigneusement évités tout au long de son existence. Sa Sire n’aimait pas davantage les conventions, en dehors de quelques exceptions. Il n’entre dans les rangs et ne montre patte blanche qu’au XIXe siècle, en rejoignant l’Essaim de Londres. L’expérience lui déplait et ne sera pas étrangère à sa chute. Alors il garde depuis ses distances et sa survie s’est faite discrète.
Il vit même quasiment en ermite, à l’écart du moins de ses congénères, depuis son Réveil dans les années 60. Une longue vie humaine me direz-vous, mais le temps ne s’écoule pas de la même manière pour un immortel usé. Il assiste ainsi à la Révélation en même temps que le reste du monde. Cette dernière est une bombe dans cette société vampire emprisonnée par des siècles et des siècles de Mascarade. L’aube d’un nouveau jour ! Elle réveille chez Jean une flamme qu’il croyait éteinte à jamais. Une opportunité de remettre à plat son passé et se tourner vers l’avenir.
Toujours dans l’ombre, il observe ainsi la société réagir, patiemment, à ce bouleversement. Les profiteurs, les adorateurs et les autres. Il n'a toutefois évidemment pas attendu la révélation pour découvrir les autres CESS. Il n'en a pourtant croisé que peu au cours de son existence, et sans toujours en avoir conscience. Si ces derniers peuvent attiser sa curiosité, il ne se sent pas spécialement proche de ces autres espèces, un peu comme une otarie se moque pas mal du sort d’un manchot. Ça n'empêche pas la coopération et il n'exclue pas de coopérer avec certains arcanistes un jour pour approfondir ses propres facultés. Notamment au sujet du Voile. Quant au mouvement anti-CESS, il se trouve finalement relativement prévisible. Objectivement, comment en vouloir à ces gens ? De son vécu, à travers les siècles, ça ne fait aucun doute : ils peuvent avoir peur ! Jean est donc indulgent envers ces derniers. Dans tous les cas, c'est plus fort que lui, il garde toujours une âme humaniste et ne dénigre jamais arbitrairement les humains. Un équilibre parfois précaire puisqu'il reste tout de même l'un de leurs prédateurs et qu'il a arraché plus de vies qu'il ne saurait compter.
C'est donc dans ce contexte qu'il se décide finalement à rejoindre le Nouveau Monde. Ce n’est pas le surnaturel, ni les évènements de ces dernières années qui l’attirent en soi à Shreveport. Il n’en sait d’ailleurs rien de plus que le commun des mortels. C’est un écho lointain. Elinor.
Jean ne tarde pourtant pas à se mettre au jus dès son arrivée, en se présentant à l'Essaim. Découvrant les différents clans officiels. Lanuit, Coleman, il reconnait les vieilles organisations familières. Dalzell, rassemblant d'anciens renégats, semble apporter une approche pour lui inédite. De la même manière, c'est de la bouche du régent qu'il se voit mentionner le clan du Chaos. Difficile d'en avoir une perception objective pour le coup ! Mais que faut-il attendre d'un mouvement avec un tel nom ? Lors de ce même entretien, Gabriel Lanuit lui évoquera aussi les évènements majeurs de la ville. Comme ceux d'Halloween, deux ans plus tôt. Sa version, une fois de plus, mais elle suffit à intriguer fortement notre Ainé. Il savait que Shreveport était un endroit particulier, que la Révélation avait renversé les anciennes coutumes, mais pour le coup, il est question d'un tout autre niveau. Il ne l'assimile toutefois pas complètement encore.
Singularités
BONUSLe trait physique le plus caractéristique du français est son nez. Impossible de passer côté ! C’est l’unique héritage qu’il possède de son père biologique.
Il est entré sur le territoire américain avec pour seul instrument une guitare acoustique, un peu bricolée.
Jean parle de nombreuses langues, plus ou moins bien, depuis plus ou moins longtemps, voire trop longtemps. Il a un accent léger dans chacune d’entre elles, même s’il est difficile à identifier.
Il lui arrive de se faire appeler John, pour les anglophones, par simplicité.
Who am I ?
Je suis un scénario Blase Odepluie VisageAdrien Brody Sagessetrès sage ! Découverte par Myrtle Présence régulière Avis niveau de détails des annexes au top pour quelqu’un de complètement novice de l’univers ! Je me suis régalée à les parcourir ! Et pour le commentaire constructif, votre choix de predef est hyper riche mais ils manquent probablement de liens PJ pour être aussi attrayants que des scenarios Crédits moi, c'est un crédit valide ça ? Mot de la finmerci à Elinor, pour ce perso et ses conseils !
Jean Delaube
You shall be a restless wanderer
DANS LE NOIR
En un mot : Lalalalaaa
Qui es-tu ? : Immortel usé de 610 ans • Torturé et incisif, sentimental et indiscipliné • A grandi dans les traditions de l'Est et parcouru une partie du monde • Musicien virtuose • Libertaire dans l'âme • Sire d'Elinor Lanuit • Déclaré mort en 1895, il réapparait seulement aujourd'hui • En marge du monde moderne
Facultés : • Voie du sang : Niveau 4-1
Goûteur de sang professionnel. Source de vie et de puissance pour lui-même et ses congénères, il sait le sonder, le manipuler et le sublimer. Attention, il lui arrive de le voler...
• Présence : Niveau 1-4
Sait attirer l'attention sur lui et forcer l'adhésion
• Voile cendré : Niveau 1-1
Perçoit naturellement brièvement les esprits, mais s'il concentre son sang, c'est l'intégralité du plan semi-astral qui se révèle à lui
La claque fusa contre ma joue. Elle résonna, avec violence, avant de faire rougir ma peau. Ma mâchoire se contracta, mais je restai immobile, me canalisant exceptionnellement. J’avais dix-huit ans et je regardais ma mère me juger. Elle se tenait devant moi, raide, osseuse, dans la petite pièce où nous vivions depuis ma naissance. La fenêtre était ouverte sur la rue et les grognements des porcs comme le tambourinement des forges remontaient jusqu’à nous. Elle détestait mon insolence et ma verve. Je détestais cette ombre qui enveloppait mon existence. En dépit de nos querelles, elle m’avait pourtant toujours tout donné. Je ne pouvais que lui rendre la pareille. Quitte à tuer.
Le duel s’était déroulé à l’extérieur des remparts, à l’aube, en secret. Nos lames s’étaient entrechoquées. J’avais déroulé les enchainements précis sur lesquels je m’entrainais ces dernières années. Il ne fallut que quelques minutes pour que le corps de ce fils d’écuyer ne s’effondre dans l’herbe du pré, touché par la pointe de mon épée. Il n’avait pas survécu, il l’avait cherché.
« Je défendais ton honneur ! Protestai-je dans notre patois. Celui d’une mère célibataire à une époque où cela ne se faisait pas. Une simple servante, qui avait succombé aux avances de son maître, alors déjà duc de Bourgogne. Une erreur dont elle payait quotidiennement le prix et moi avec elle. Je ne pouvais pas accepter ce qu’ils disaient, repris-je. Ils t’ont traité de b… »
Mais elle ne me laissa pas poursuivre et sur ces mots, elle attrapa une cuillère en bois et me frappa de plus belle. Elle me faisait mal, pour de vrai, et je ne sus que me protéger de mes membres trop grands pour mes vêtements. Je m’indignai, en vain. Elle me parla de mon père donc, le fameux ! De la chance que j’avais d’avoir un toit, de manger à ma faim, de lire le latin. Car oui, l’homme n’avait jamais daigné me rencontrer, avait obligé ma mère à me cacher pendant des années son identité, mais je pouvais le remercier de m’avoir entretenu, éduqué. J’étais un garçon de bonne famille. Sans famille. Sans nom, sans légitimité. A sa merci. Car dans le fond, je n’étais personne. Une simple tâche dans le beau parcours de cet éminent personnage et ses ambitions. Elle me rappela ainsi la précarité de notre situation. Alors par fierté, je prétendis me moquer de lui, de la noblesse de son sang, de son statut, de son pouvoir.
« Tu ne devrais pas, Jean. Tu ne connais rien à la misère ! Ma langue claqua contre mon palais. - Je préfère la misère à la servitude. »
*****
1500 – Zalău, Roumanie
Les flammes des candélabres projetaient une lumière ondulante et tamisée dans la salle de bal. Le pourpre était partout. Dans les rideaux, les tapisseries, sur les toilettes de ces Dames et dans leurs coiffures. Des rubans, des dentelles, du velours. Il était au sol aussi, sur les murs. Projeté par giclées en abondance. Il tâchait mais personne n’en avait cure. Son odeur métallique faisait tourner les têtes, enivraient les esprits, réveillaient les Bêtes.
Une orgie n’avait jamais rien de raisonnable. Surtout pas ici. Cette nuit.
Garder le contrôle était un supplice. Aux visages euphoriques de mes semblables, à leurs canines acérées, se mêlaient ceux des humains désincarnés, blafards, soumis par dizaines à la Domination. Certains étaient déjà morts, personne ne s’en souciait. Fallait-il systématiquement toujours en arriver là ? La supériorité de notre race devait-elle passer nécessairement par la négation de toutes les autres ? Je ressentis le dégoût de l’excès comme l’excitation bouillonnante de mes papilles.
Puis mon regard se posa sur elle. Elle souriait, en proie à une liesse indicible. Je le lisais sur ses traits que je connaissais dorénavant par cœur. Depuis notre rencontre au cœur des campagnes françaises, depuis cette évidence qui nous avait liée. Nous partagions le même amour pour les écritures, la même curiosité du monde, la même envie de tout envoyer balader. Depuis mon Etreinte, elle me guidait dans cette nouvelle existence, poussant toujours un peu plus loin le vice, m’entrainant avec elle au plus près de ses limites. Au-delà déjà des miennes. En cet instant, des gouttes de sang coulaient le long de ses joues, sortaient à la racine de son nez et au niveau de ses tempes par les pores mêmes de sa peau. Repue au-delà du possible. Elle releva alors ses yeux noisette vers moi, ils me transpercèrent comme une dague. Elle s’approcha, toute peinturlurée de son festin.
« Vous en avez un peu entre les dents, lui murmurai-je en affichant un rictus de circonstance, quand elle fut tout près. Son rire fut un éclat qui transperça la foule autour de nous. Elle l’annihila. Je ne voyais qu’elle. Sa beauté, sa folle liberté, sa Nature. Je savais que j’allais craquer. C’était précisément ce qu’elle voulait. - Ne te retiens pas, János » me souffla-t-elle, avec provocation, en approchant son visage tout près du mien.
Ses lèvres frôlèrent les miennes, une seconde, avant qu’elle ne m’offre sa joue. Dans un érotisme inaccessible aux mortels, ma langue vint alors s’écraser contre sa peau, goûtant avec délectation la pureté de son sang.
Elle était ma Sire. Je l’adulais autant qu’une part d’elle me dérangeait. Profondément.
*****
1663 – Bénarès, Inde
La nuit, bien qu’encore jeune, était d’un noir intense. Sur les rives du Gange, les premiers brasiers avaient été allumés et éclairaient le fleuve comme des lanternes. Leurs flammes hautes accompagnaient vers le ciel l’âme des morts. L’odeur de la chair brûlée se mêlait à celle des épices et du jasmin. Elle montait au nez, collait à la peau. Comme cette chaleur étouffante qui annonçait la mousson prochaine. Je m’étais assis à l’écart, vêtu d’une kurta noire aux encolures brodées, intemporelle. J’observais les attroupements qui se faisaient religieusement. Je perçus alors une respiration saccadée et ma voix rompit finalement le silence.
« Je sais que vous êtes là. Je sentis la silhouette qui m’observait dans un recoin sombre frissonner. Surpris probablement de m’entendre l’apostropher dans sa langue. Je vis dans ce pays depuis plus longtemps que vous ne pourriez l’imaginer. »
Trente-deux ans déjà. Jaipur. Agra. Mes prunelles olive se levèrent vers l’individu d’un âge avancé qui s’avança au-devant de la clarté lointaine. Sa peau presque noire se fondait dans l’obscurité de la nuit et me masquait une partie de ses traits. Il était un Dalit, à n’en pas douter. Il affichait un masque serein cependant et me dévisageait intensément.
« Je peux pourtant l’imaginer, répliqua-t-il avec flegme, attisant ma curiosité. On ne voit pas beaucoup de gens comme vous par ici. Je marquais un silence avant de répondre. - C’est que la mort nous concerne peu. »
Un éclat passa dans son regard, il esquissa un sourire. J'aimais ce genre de rencontres. Inattendues, mystérieuses. Elles donnaient un sens à l'étude dans laquelle je m’étais lancée sur le monde et ses sociétés. Humaines, vampire, qu'importait. Je voyageais depuis de longues années déjà, fuyant autant le souvenir douloureux d’Erzsébet, dont ils avaient arraché le cœur, que les fiertés que j’avais pu froissées. Essayant aussi de trouver ma place, alors que les coutumes de mes aïeux m’étouffaient, et de déterminer s’il existait un seul endroit sur cette Terre où il était possible de s’affranchir de toutes nos chaînes. De l’individualisme russe aux mythologies hindou puis bouddhiste, je n’allais pas le trouver.
« La mort n'est qu'un passage, reprit l’homme. Mais vous le savez déjà, n’est-ce pas ? Son regard se perdit un instant dans le vide à ma gauche. Puis il ajouta, en posant de nouveau ses yeux sur moi : il vous a vu. »
Je l’avais vue aussi, quelques instants plus tôt. Cette présence, à mes côtés. Je l’avais perçue comme un flash. Dans cette dimension qui se superposait à la nôtre. Elle grouillait en ce lieu si particulier d’esprits, qui m'étaient insaisissables. Le Dalit prononça quelques mots dans un dialecte, ils ne m’étaient pas destinés. J’apprendrais plus tard qu’il était Dom Raja. Le Roi de l’au-delà. Il vivait selon ses dires sa cinquième et dernière vie. J’allais le côtoyer jusqu’à son dernier soupir.
*****
1747 – Versailles, France
La scène du manège de la Grande Ecurie s’était vidée sur une salle enchantée, dont le brouhaha frivole remplaçait l’orchestre qui venait de se taire. Opéra. Quatre actes. Je fermai un instant les yeux laissant les applaudissements résonner jusque dans ma cage thoracique, revitalisant un instant les battements faiblards de mon cœur. Je me fondais dans la masse, personne ne me prêtait d’attention, pourtant leur ovation était mienne.
« C’était une réussite, déclara Jean-Philippe quand je le retrouvai beaucoup plus tard, après le tumulte, à l’abri des regards, dans les jardins du palais. La nuit était fraiche et sa respiration se dessinait devant ses lèvres, dans des volutes de vapeur. Contrairement à la mienne. J’ai reçu les félicitations du Dauphin » poursuivit-il.
La remarque m’arracha un sourire tout en retenue. L’ironie de travailler au divertissement d’un monarque ne m’échappait pas. Il me dévisagea, attendant avec impatience mon retour. Son regard était empreint d’une dévotion certaine. En dépit de l’ascendant que j’avais sur lui, nous nous rendions des services mutuels. Je lui offrais le succès, il était ma vitrine. Je l’avais rencontré par l’intermédiaire de son père, organiste dans une église de Dijon, alors qu’il vivait lui-même une phase d’errance difficile. Il était talentueux, à la dérive, parfait.
« C’était bien, oui » concédai-je, en affichant un air satisfait.
Nous débriefâmes tout de même un instant. Sur le tempo de la viole, l’intensité de la contrebasse. Jean-Philippe partageait ma passion et nous nous en abreuvions ensemble. Depuis quelques décennies, je vivais une période d'exaltation proche de mes premières années d'immortalité, plus rien d'autre ne comptait. Ça avait commencé au hasard de quelques accords joués au sitar au bord de l'océan Indien. Les notes s'entrechoquaient depuis sans arrêt dans ma tête, j'en étais obsédé. J'avais passé un cap, tourné une page. Mon tour du monde avait perdu son sens car ma quête était terminée. Alors j’étais rentré. Je ne le comprendrais encore que de longues années plus tard, mais la musique était mon ultime liberté.
« Je crois que nous avons tous les deux mérité de fêter ça » déclarai-je finalement pour conclure.
Il hocha la tête avec un regain d’enthousiasme, le regard brillant. Il s’empressa de se retourner en dégageant les boucles grises de sa perruque, pour dégager sa nuque. Je posai ma canne contre le socle d’une statue. Il frémit quand mes doigts se posèrent sur les brocarts de son costume et que je lui retirai son jabot. Quand d’autres auraient trinqué sur un Grand Cru de notre chère Bourgogne, mes crocs s’enfoncèrent dans son cou.
*****
1858 – Londres, Royaume-Uni
« Qu'est-ce qu'ils ont dit ? »
Mon regard se leva sur Nikita. Il était assis dans un fauteuil rococo, jumeau au mien, son visage rond éclairé par une lampe à pétrole, une récente invention venue du Nouveau Monde. Il avait rejoint l’Angleterre quelques années après moi, quand je fuyais une révolution française aussi exaltante qu’un brin chaotique et finalement décevante. Nous avions fait connaissance sur ses terres natales, en Russie, plus de deux cents ans auparavant et nos chemins n’avaient cessé de se croiser jusqu’à maintenant… Son plaisir : chasser du garou. Ce n’était pas ce qui nous liait. Il partageait mes élans contestataires. Je pinçai les lèvres, avant d’acquiescer.
« Ils n’ont vraiment aucun reproche à nous faire. Ni à elle, ni à moi. C’en est étonnant, n’est pas ? Mes lèvres s’étirèrent dans une moue amusée. Mon bon ami ne m’avait effectivement pas toujours connu si raisonnable. Ils ne craignent probablement que de la voir un jour les supplanter. De ce qu’ils ont dit : ils suivront mon jugement. »
Ils. Notre Régent. Notre Primogène. Je m’étais adressé à eux comme le dictait les bons usages de l’Essaim et du Clan auquel j’appartenais dorénavant. L’Étreinte n’était en rien un acte anodin. J’en avais conscience. Elinor n’était pas davantage un spécimen ordinaire.
« Tu connais mon point de vue » répliqua Nikita.
Il m’avait déjà partagé ses doutes, effectivement. Je connaissais depuis longtemps aussi les travers de ma Marquée. Son ambition débordante, son manque flagrant de scrupules. D’émotions aussi souvent. Certes. Nous étions fondamentalement très différents. Je ne listerais pas ses nombreuses qualités et les raisons toutes logiques qui m’avaient amené à la choisir en premier lieu. Ce serait trompeur. Elle représentait finalement seulement un juste milieu, à mes yeux. Entre tout ce qui la séparait du tempérament de ma Sire et cette pointe de fascination qu’elle exerçait sur moi et qui me paraissait nécessaire. Je devais l’avouer, je me laissais aussi attendrir. Mais elle m’était devenue ces dernières années si précieuse. Notre lien me paraissait solide, puis j’avais cette conviction profonde que si ce n’était pas moi, ce serait un autre. Je me sentais les épaules.
« Tu as déjà fait ton choix, je suppose ? Je ne répondis pas. Mes doigts jouaient sur le pommeau en ivoire de ma canne. J’haussai une épaule, affichant une mimique encore hésitante. Il me connaissait trop bien pour en être dupé. Tu vas lui en parler ? Reprit-il. - Pas tout de suite. »
Quelle urgence ? Je m’amusais aussi de la voir se languir. J’attendis encore deux années. Avant d’arracher sa vie et lui offrir le plus beau cadeau permis.
*****
1995 – Dijon, France
Je refermai la porte d’entrée de ma voisine sans bruit. La vieille dame s’était endormie. Ma salive soulageait ses vives douleurs articulaires et l’aidait à trouver une certaine forme de paix. Dans le même temps, si son sang n’était pas d’un niveau trois étoiles, il avait l’avantage d’être à portée de main. J’avais en quelque sorte perdu depuis mon Réveil le goût de l’excellence. Mon palais était recouvert d’une couche d’amertume. Le palier était évidemment désert, plongé dans l’obscurité. Je m’étais encore réveillé un peu tard. Mon regard se posa sur la porte de mon appartement, puis vers le panneau lumineux qui désignait les escaliers. Hésitant. C’était que je ne sortais presque jamais. L’extérieur ne m’intéressait plus. D’ordinaire, la simple idée de me plonger dans mes partitions me suffisait. Mais aujourd’hui marquait un anniversaire : un siècle.
Cela faisait précisément un siècle que Nikita et Pavel, mes deux plus vieux amis, m’avaient enfoncé ce pieu dans le cœur, me soustrayant à une mort certaine. La douleur physique – abominable - n’avait duré qu’un instant, alors que mes chairs se délitaient. J’en gardais un souvenir indélébile, mais ce n’était pas ce mal qui me hantait. Ma main gauche se serra machinalement alors que je repensais à ce jour. Le rendez-vous avec ces mineurs opprimés, nos projets pour renverser la vapeur puis le guet-apens et l’affrontement. Quelqu’un nous avait vendu, nous n'avions finalement jamais su. Je revoyais simplement le corps ensanglanté d’un de ces hommes entre mes mains, puis le feu qui avalait la pièce où je me trouvais. Et le trou noir. Soixante-dix ans de trou noir.
A l’époque, les évènements de la Commune de Paris avait réveillé mes envies libertaires. Je n’espérais déjà plus rien pour moi-même, mais la condition de la plupart des humains savait toujours me révulser. Alors j’abandonnais trop souvent mon si tendre clavecin pour fourrer mon long nez là où il n’avait rien à faire. Je me mêlais à des manifestations, encourageait des soulèvements. Rien ne me faisait plus plaisir que de contrarier des hauts dirigeants ! Et j’entrainais mes amis avec moi, ils ne demandaient que ça. Évidemment, Elinor n’approuvait pas.
La simple pensée de mon Infante assombrit mon regard. Ma mâchoire se crispa. Je pinçai les lèvres et mes pas me guidèrent vers l’escalier. Des jours comme celui-ci, c'était la solitude qui me consumait. Son rejet.
« Qu’est-ce qui te ferait plaisir, mon chou ? » Me demanda la femme après m'avoir fait entrer dans sa camionnette.
Elle avait une voix rauque de fumeuse. Bien en chair, elle n’était pas jolie mais ses effluves me plaisaient. C’était un mélange de transpiration et de parfum bon marché. Une odeur simplement délicieusement humaine.
« Je fais tout ce que tu veux, reprit-elle, avant de m’énumérer son catalogue et ses tarifs : à genou, devant, derrière. Mais je n’étais pas là pour ça. - Juste une étreinte, ça suffira… j’ai froid. »
*****
2021 – Shreveport, États-Unis
Le compteur du taxi annonçait $62. Depuis l’aéroport, au milieu de la nuit, pour tout ce que ça représentait, ce n’était probablement pas surprenant. Je glissai mes doigts dans mon portefeuille pour en extraire quelques billets. Pas de pourboire. Je ne vis même pas le chauffeur froncer des sourcils.
« Merci, bonne nuit. »
L’instant suivant, j’étais sur le trottoir dans une rue du centre historique. Un sac de voyage en cuir dans la main, l’étui de ma guitare dans le dos. Les échos d’une mélodie jouée au saxophone me parvenaient au loin, mais je ne pouvais en saisir la provenance. Je m’étais fait déposer au bout de la rue, l’adresse m’avait été donnée à Boston, où j’avais été reçu quelques jours, après mon arrivée sur le territoire. L’Hôtel de la Régence. Le fief local de mes semblables.
L’instant suivant, après avoir passé une sécurité de rigueur, je déposais ma carte d’identité devant la femme qui m’avait accueillie. Une Marquée selon toute vraisemblance. Se déclarer à l’Essaim était une obligation dont je ne m’étais pas affranchi. Je vis son regard changer quand elle nota ma date de naissance : 1412 – Hongrie.
« Mr Delaube, c’est un plaisir de vous avoir parmi nous, glissa-t-elle en affichant un sourire de convenance. Excessif. J’avais oublié dans ma longue retraite le prestige de mes vieilles années. Elle pianota sur une tablette. Je peux enregistrer un numéro de téléphone ? - Je n’en ai pas, répondis-je honnêtement. Je n’avais aucune honte à l’affirmer : la technologie me dépassait. Je ne faisais réellement l’effort que lorsque j’y voyais de l’intérêt. Rarement, de fait. - Oh je vois… une adresse e-mail peut-être ? » Pas davantage.
Je lui exposai alors mon intention de rencontrer Miss Lupesco, dont j’avais eu le contact par mon ami Pavel. Il l’avait bien connue lors du séjour de la jeune vampire en Pologne, où il avait lui-même toujours vécu. Ça ne datait pas d’hier et il n’avait plus de contact avec elle, mais il m’avait affirmé que si elle était restée fidèle à son souvenir : elle pourrait me plaire. Je ne savais pas vraiment quoi en penser mais au moins pourrait-elle être un point d’entrée. Je n’avais pas mentionné Elinor.
« Installez-vous, Mr Lanuit va vous recevoir d’une minute à l’autre. Je peux vous proposer du True Blood ? Ou l’un de nos Calices ? - A votre avis ? » Répliquai-je, espiègle.
Elle s’excusa et je laissai vagabonder mon regard sur les œuvres magistrales qui décoraient les murs du salon où j’avais été conduit. L’endroit vous transportait dans une autre époque. Celle de la nostalgie. Un phénomène irrémédiablement accentué par la présence familière et si proche, qui résonnait en moi depuis que j’avais posé les pieds ici.
CHRONOLOGIE
1372Naissance à Dijon d’un enfant illégitime de haute lignée. Il est éduqué et entretenu dans l’ombre.
1390Définitivement répudié par son père, il s’enfonce dans la misère et perd peu après sa mère. Il se tourne au fil des années vers le travail de la terre.
1408Rencontre avec sa future Sire, dans la campagne française. Leur fascination est réciproque, elle le ramène avec elle en Hongrie.
1412Jean devient immortel à 40 ans, après avoir été Marqué quelques années. L’Etreinte se fait sans autorisation, par aspiration. Sa relation avec sa Sire est fusionnelle.
1550Le vampire et sa Sire sont de plus en plus souvent en désaccord, notamment en ce qui concerne le sort des humains. Elle accumule les délits envers la Mascarade. Il se met progressivement en retrait vis-à-vis d’elle. 1610Disparition de sa Sire, éliminée par les siens pour ses écarts. Très touché, Jean quitte les territoires de l’Est pour parcourir le monde.
1612Découverte de la Russie.
1631Découverte de l'Inde et ses mythologies. Il y découvre aussi le sitar et, à travers lui, la musique à laquelle il s’initie avec brio.
1704Jean retourne en France et se noie dans la musique baroque. Il publie ses compositions sous le règne de Louis XV en s’associant à un autre dijonnais : Jean-Philippe Rameau jusqu’à la mort de celui-ci.
1789Le vampire suit avec intérêt le début de la Révolution Française et vibre avec elle. Il s’exile à Londres à la mort de Robespierre.
1839En quête de plus et après des années d’observation, il fait d’Elinor Strange sa Marquée.
1860Après plus de vingt ans, Elinor devient son Infante, contre l’avis de certains de ses proches. Il lui apprend tout ce qu’il sait.
1870La Commune de Paris ravive sa fascination pour le révolutionnaire. Il joue avec le feu, s’acoquine avec des humains, envoie certains vampires sur les roses.
1895Jean meurt officiellement dans les flammes, dans un affrontement obscur. Il est en réalité sauvé in extremis par de vieux amis qui le plongent en Torpeur. Elinor ne répond pas à l’appel de leur lien. Il passe par plusieurs planques, en Europe de l’Est puis en Russie.
1965Il n’est réveillé par un ami qu’à la cicatrisation complète de ses blessures après 70 ans de sommeil. Complètement désenchanté.
1967 Seul son amour inconditionnel pour la musique l'empêche de jeter l'éponge pour de bon. Il explore avec passion de nouveaux horizons musicaux.
1989 Il rentre en France à la fin de la Guerre Froide et poursuit sa retraite musicale. Il publie plusieurs compositions.
2021 Il se révèle enfin et rejoint les États-Unis. L’appel de son lien avec Elinor le conduit à Shreveport, au cœur de tout.
Elizabeth Finch
Cannot a Beast be tamed
'Cause there's magic in my bones
En un mot : Ventre sur pattes
Qui es-tu ? : Webmaster talentueuse
Hackeuse d'exception
Geek de compét
Gourmande professionnelle
Concentrée de bonne humeur
Facultés : Lycanthrope, elle a tous les avantages qui vont avec... Tous les handicaps aussi accessoirement. Elle maîtrise les transformations en Hispo et Glabro, mais a du mal avec le Ferus, surtout depuis la mort de son père.
Tu aurais pu choisir mieux qu'un vampire ... Mais tu aimes le jazz, ça t'excuse presque (presque) !
Bienvenue et bon courage pour la fin
Myrtle Blackstone
Duchesse Von Myrtille : "Chéri, j'ai mangé les gosses"
START FROM SCRACTH
En un mot : ☽☾ Détruite ☽☾ Rafistolée ☽☾ Borderline ☽☾
Qui es-tu ? : ☽ Duchesse anglaise née en 1778, elle était veuve et mère de deux enfants lors de son Etreinte en 1819.
☽ Animée par une haine viscérale à l'égard de co-Infant et de son Sire. Cette haine est le moteur qui la pousse à avancer depuis plus de 200 ans.
☽ Lunatique, elle oscille entre une discrétion taiseuse et des envies de violence.
☽ Les années et les ressentiments rongent et effritent sa psyché. Elle n'est plus la femme altruiste et maternelle qu'elle a été de son vivant.
☽ Croit en dieu mais ne pratique plus et n'entretient pas de vain espoir de rédemption. Lorsqu'elle mourra pour de bon, elle brûlera en Enfer pour le reste de son éternité.
☽ Certaines personnes la connaissent sous son autre identité : Apple Murray. Ce n'est qu'un nom de scène.
☽☾
☽ 1m75 / ~60 kg;
☽ Cheveux de jais & yeux vert crocodile.
☽ Crocs de vampires atypiques : elle en possède deux paires, sur la denture supérieure, eu lieu de simplement deux canines.
☽ Suit les modes moderne : sa tenue préférée se compose de jean, tee-shirt et blouson
Facultés : ☽ Facultés ordinaires des vampires : force, vitesse, régénération, hypnose basique.
☽ Obténébration II-3 / Métamorphose I-4 / Aliénation I-4
☽ Formée au combat et à l'assassinat : au XIXè siècle, son Sire et Primogène de son camp éduquait ses membres à repousser les chasseurs de vampire qui les menaçaient régulièrement.
☽ Particulièrement observatrice, préfère analyser les situations en se faisant oublier.
☽ Parle parfaitement anglais (avec des restes d'accent anglais) et français.
Un début de fiche qui promet un personnage de zinzin ! J'ai lu tout ça avec régale, et j'ai déjà des idées de lien dis donc ! A affiner avec la fin de la fiche, et surtout la sacro-sainte validation, mais ce français et son nez caractéristique risque fort d'avoir de mes nouvelles ;)
Dis, dis, on va mettre le feu à des poubelles et faire de la musique ??? Dis DIS ???
Bon, tu l'auras compris, je suis -un peu- enthousiaste. Bon courage pour la fin de la fiche et à très très vite pour mettre du zbeul et de l'anarchie dans la vie d'Elinor
Mais qu'il est cool ce vampire ! Bonne bouille, bonne race (on passera sur les fréquentations douteuses pour cette fois) ! C'est le duocé gagnant, ça !
J'vais être un peu moins subtile que Myrtle et me contenter d'exiger un lien quand tu seras validé ! On va faire de graaaaaaaandes choses, tu vas voir ! Même si je sais pas encore quoi par contre
En tout cas bon courage pour la suite de ta fiche et bienvenue à bord !
Elinor V. Lanuit
Tea For Two - Ils t'entraînent au bout de Lanuit, les démons du mépris
Let's spend an evil night together
En un mot : Don't be afraid ; It's only death. It's just as natural as your first breath.
Qui es-tu ? :
- Immortelle britannique du XIXème siècle, issue de la bourgeoise florissante du début de l’ère victorienne. L’élégance et le flegme de son époque vivent encore dans ses manières.
- Femme fatale au charme venimeux, calculatrice sans scrupules, elle manipule les cœurs aussi bien que les lettres et les chiffres.
- Perfectionniste à l’extrême, séduite par le pouvoir et reine stratège, son plaisir de tout contrôler égale sa soif de connaissances en arts obscures.
- Vampire accomplie, fille des Lanuit, et éternelle solitaire dont l’amour empoisonne les malheureux attirés par une élégance inaccessible aux simples mortels.
- Monstre évoluant dans l’anonymat des ombres, elle traverse les siècles sans fléchir ni se lasser, se proclamant véritable immortelle avide de vie et de savoir.
Facultés :
- Chacun de ses menus gestes contient une grâce et une sensualité étonnante, comme si son corps figé par les siècles ne connaissait aucune autre manière de se mouvoir.
- Un rare talent pour la stratégie économique dont son clan profite à souhait, elle détient une précieuse capacité à s’ancrer sans difficulté dans cette époque.
- Une Présence (niveau 2, palier 5) cultivée avec patience se lit dans son regard enjôleur, rendue redoutable par un siècle de manipulations opportunistes.
- L’Occultation (niveau 2, palier 2) masque son être pour mieux agiter les fils de ses marionnettes, tandis que son esprit demeure son sanctuaire interdit, où elle ne tolère personne.
- Un Animalisme (niveau 0, palier 0) incongru la colle, sans qu’elle ne daigne y accorder le moindre intérêt, quand ce talent bestial semble si éloigné de son tempérament et de ses valeurs.
Thème : Jill Tracy : Evil Night Together
We'll drink a toast in the torture chamber
And you'll go down on a bed of nails
We'll rendevous in cold blood
I'll tie you up to the third rail
No need for cake or flowers
Let's spend an evil night together
Pseudo : Carm'
Célébrité : Janet Montgomery
Double compte : Alexandra Zimmer & Inna Archos
Messages : 727
Date d'inscription : 30/08/2019
Crédits : Lyrics: The Great Malarkey ; Avatar: littlewildling-rpg
(Bienvenue, super content que mon scénario te botte, on s'accroche sur discord !)
Zelda Rosefield a écrit:
Mais qu'il est cool ce vampire ! Bonne bouille, bonne race (on passera sur les fréquentations douteuses pour cette fois)
*Jette un coup d’œil en passant de haut en bas à la gamine fauchée qui vole un PC à l'Artspace, histoire de juger les "bonnes fréquentations, et s'en va*
*Regarde à droite, regarde à gauche* Misère, ça manque d'humain par ici... M'en vais voir ailleurs, si j'y suis.
Bienvenue ! Et courage pour la suite de ta fiche, hâte de lire tout ça !
Samuel Miller
Cannot a Beast be tamed
ASHES YOU WERE
En un mot : Bolverk de la Meute
Facultés : Thérianthrope de naissance, Samuel maitrise toutes les phases de transformation (glabro, crinos, hispo, ferus). Loup de grande taille au pelage gris argenté, allant des teintes plus claires au plus foncées.
Bienvenue par ici et bon courage pour le reste de ta fiche !
Medea Comucci
Sugar Mommy, la randonnée c'est ma vie (et mes collines ne demandent qu'à être explorées)
I will stop at Nothing
En un mot : Humaine. Profiler pour le FBI et consultante pour la NRD
Qui es-tu ? : A cinquante ans, je rassemble les bris de ma carrière explosée dix ans plus tot. Travailleuse acharnée, animée par un désir de vengeance qui me couple le souffle. Je ne m'arrêterais que lorsque ma Némésis sera morte ou sous les verrous. En parallèle, à la tête d'une cellule spéciale, je suis chargée d'incarcérer les CESS qui s'imaginent au dessus des Lois.
Facultés : J'attire les ennuis. Très facilement. Et souvent, je vais à leur rencontre.
voila qui promet un vampire atypique et passionnant à suivre! Bon courage pour la fin de ta fiche, tu es attendu je crois ;)
January Rosefield
Princesse planche à pain : un jour, mon février viendra.
ASHES YOU WERE
En un mot : Je voudrais être calice à la place du calice
Qui es-tu ? : Une humaine insignifiante, programmatrice dans un théâtre, qui aime se faire mordre.
Inventaire :
L’ŒIL DU DIABLE
C'est un petit anneau de la taille d'un monocle, constitué d'un métal sombre et lourd avec un tout petit crochet permettant d'y passer une chaîne pour le porter en pendentif ou monocle. Son pourtour est entièrement sculpté de ce qui ressemble à des écailles de serpent, sans qu'il n'y ait pour autant ni tête ni queue, avec quelques runes supposément nordiques gravées sur le pourtour. Une fine ligne creusée sur la longueur à l'intérieur et à l'extérieur de l'objet dévoile que cet anneau est constitué de deux parties qui peuvent pivoter l'une l'autre et l'actionner fait se déployer ou replier un petit opercule de métal solide qui ouvre ou clôt le trou en son centre (inspiration visuelle : https://i.makeagif.com/media/6-01-2015/_52SB9.gif).
Lorsque cet anneau est fermé, rien ne se passe. Mais, lorsqu'il est ouvert, le monde qu'on y observe à travers est différent. Ce qu'on y voit est un amalgame de flux, de reflets spectraux et d'auras. Un non initié aurait du mal à comprendre ce dont il s'agit mais un initié comprendra qu'il s'agit d'une lunette de vision sur le plan astral. Ceci permet d'y voir depuis le plan matériel. On peut y déceler en partie les auras (sans forcément savoir les décrypter), les flux magiques (ce qui permet d'aider à identifier la nature magique ou non d'un élément) et surtout percevoir les esprits et autres fantômes.
Néanmoins, attention. Voir, c'est aussi être vu et chaque fois que ce micro-portail est ouvert, il y a une chance que quelque chose du plan astral perçoive cet artifice et soit attiré par celui-ci. Mécaniquement il faudra lancer 1D6 et sur un 1 un problème profitera de l'ouverture ainsi créée pour s'introduire sur le plan matériel ou vous stalker : un fantôme, un résidu de sentiment, autre chose, etc.
J'ai pas encore tout lu mais il a l'air hyper cool, j'ai très hâte de te voir en jeu
Rhys Archos
MJ ۰ Trop de DC, pas assez de décès.
L'IVRESSE SOLAIRE DU CRÉPUSCULE
« Wild men who caught and
sang the sun in flight,
And learn, too late, they
grieved it on its way,
Do not go gentle
into that good night. »
En un mot : Émeute, Sang et Fiel
Qui es-tu ? : Sans visage, une force animale grouillant sous une peau humaine qui s'étire, trop étriquée, n'attendant que de jaillir à l'intérieur du monde pour le ravager.
Facultés :
● Trouble à l'ordre public ; ● Outrage à agents ; ● Attentat à la pudeur ; ● Violation de propriété privée ; ● Ivresse sur voie publique ; ● Expert du pistolet à clous ; ● Vol de voitures ; ● Briseur de vitrines ; ● Bagarres ; ● Vol de poules ;
Un personnage tellement cool, et Elinor est une Rpgiste super, j'ai hâte de voir ton histoire et de découvrir ce personnage et vos aventures
Adopte ces beaux scénarios !
Dana Campbell
4B53NC3 - Have you ever considered piracy ? PS : J'ai les mollets concaves. CONCAVES !
Always code as if the guy who ends up maintaining your code will be a violent psychopath who knows where you live
En un mot : Mésadaptée
Qui es-tu ? : -
Propriétaire du ArtSpace
Electro-aimant à CESS
Geek
Codeuse émérite
Hackeuse
Socialement inapte
Presbyte
Vieille fille impulsive mais ultra riche sans que personne ne le sache.
Facultés : -
Craquer des codes.
Hacker des programmes.
Dénicher des choses.
Être étrange.
Ne pas se faire chier.
Être une bonne patronne.
Courageuse au mauvais moment.
L'on est toujours super enthousiasme quand un scénario d'un de nos membres vois le jour sur le forum ! et définitivement, avec toi, on se rappel pourquoi !
Ce perso est topissime, @Elinor V. Lanuit est ultra topissime aussi, ça peut juste faire un truc génialissime ! ( Oui, j'invente des adjectifs pour la cause ! )
Bienvenue sur AA et au plaisir de ce croiser en RP !
*Jette un coup d’œil en passant de haut en bas à la gamine fauchée qui vole un PC à l'Artspace, histoire de juger les "bonnes fréquentations, et s'en va*
*se sent stalkée* Après contre un financement moi j'veux bien revoir mon opinion, hein ! Ils puent le fric les Lanuit Et j'suis un peu vénale j'crois
Rhys Archos
MJ ۰ Trop de DC, pas assez de décès.
L'IVRESSE SOLAIRE DU CRÉPUSCULE
« Wild men who caught and
sang the sun in flight,
And learn, too late, they
grieved it on its way,
Do not go gentle
into that good night. »
En un mot : Émeute, Sang et Fiel
Qui es-tu ? : Sans visage, une force animale grouillant sous une peau humaine qui s'étire, trop étriquée, n'attendant que de jaillir à l'intérieur du monde pour le ravager.
Facultés :
● Trouble à l'ordre public ; ● Outrage à agents ; ● Attentat à la pudeur ; ● Violation de propriété privée ; ● Ivresse sur voie publique ; ● Expert du pistolet à clous ; ● Vol de voitures ; ● Briseur de vitrines ; ● Bagarres ; ● Vol de poules ;
Oui bah hein, @Zelda Rosefield fais gaffe à ce que tu voles à l'Artspace, j'te surveille petite insolente
Après techniquement un vol pas réussi c'est pas vraiment un vol, si ? J'pense y'a matière à débattre
Lucy Green a écrit:
Calmos Zelda, Elinor a déjà une profiteuse dans sa vie et elle est du genre jalouse
Du coup il faut une profiteuse qui profite de la profiteuse ! Ce ne serait que justice Bon après faut quand même que je regarde qui d'Ali ou d'Eli est la plus riche, s'agit de miser sur la bonne jument...
Encore rebienvenue Jean Delaube, fais pas attention à nous
Il a l'air super intéressant ce personnage, ca va être trop chouette de le voir en jeu. Bon courage pour ta fiche et amuse toi bien avec ce personnage ^^
Jean Delaube
You shall be a restless wanderer
DANS LE NOIR
En un mot : Lalalalaaa
Qui es-tu ? : Immortel usé de 610 ans • Torturé et incisif, sentimental et indiscipliné • A grandi dans les traditions de l'Est et parcouru une partie du monde • Musicien virtuose • Libertaire dans l'âme • Sire d'Elinor Lanuit • Déclaré mort en 1895, il réapparait seulement aujourd'hui • En marge du monde moderne
Facultés : • Voie du sang : Niveau 4-1
Goûteur de sang professionnel. Source de vie et de puissance pour lui-même et ses congénères, il sait le sonder, le manipuler et le sublimer. Attention, il lui arrive de le voler...
• Présence : Niveau 1-4
Sait attirer l'attention sur lui et forcer l'adhésion
• Voile cendré : Niveau 1-1
Perçoit naturellement brièvement les esprits, mais s'il concentre son sang, c'est l'intégralité du plan semi-astral qui se révèle à lui
Merci à tous pour ces petits mots et pour l’accueil !! J’espère être à la hauteur de ce perso effectivement prometteur =P J’ai bien hâte aussi de partager vos aventures !
ADMIN ۰ Se faire péter la vitrine : bien plus qu'un métier, une passion. Featuring : Dramaking
⛤ SMALLTOWN BOY ⛤
"This is not the right way."
En un mot : Sorcier venimeux ondulé de la toiture. Gosse du bayou.
Qui es-tu ? :
"Let it spread like a disease."
⛤ Maître des arcanes, sorcier à l'essence écarlate. 37 ans de vice (et râles) et de chair corrompue. Manipulateur d'hormones, télépathe patenté.
⛤ Second, bras droit de Circé van derr Ven dans la secte de l'Irae. S'y démarque pour sa loyauté ciselée par les griffes de Morgan Leroy (missing). Mais les failles perlent.
⛤ Incube de Louisiane ; fils de ces terres marécageuses, du bayou poisseux et des routes cahoteuses. Né à Bâton-Rouge, n'a connu que Shreveport et les frontières de son État.
⛤ Né seul homme dans la famille des sorcières irlandaises Mulligan. Privé de père (tué) par la harpie noire : élevé par Sylia Mulligan, descendant du Rouge de sa grand-mère Julianna.
⛤ Cauchemar des femmes ; nourrit sa magie (Rougeoyante) des hormones sexuelles de ses partenaires, ainsi que des émotions primaires.
⛤ Traître à ses passions, criminel et meurtrier de Johanna Andros (missing). Pourfendeur d'amitiés, éternel débiteur, clébard soumis à ses attaches.
⛤ Ne vit que pour les Mardi-Gras de New Orleans ; caresse le rêve de s'y installer un jour dans son propre "shotgun", malgré le fantôme de Katrina.
⛤ Mystique, déchiré entre deux hommes : partagé entre le sorcier et l'humain, entre la sagesse et une ire destructrice. Le latin s'efface sans mal sous l'accent du Sud, coriace sous sa langue.
⛤ Commerçant du Downtown (Crawling life), antre de ses serpents vénérés, lézards et autres reptiles, dont il cède les corps, les soins et les cages de verre.
⛤ Pratique à l'arrière de sa boutique, dans un laboratoire farouchement défendu et protégé par les runes. Recèle secrets et savoirs, expérimentations douteuses et dangereuses.
⛤ Mauvais mentor. L'une de ses apprenties en a subi les conséquences. Guide de Morgane Wuntherson et d'Halina Meyer. Meilleur ami indigne de Vinzent Henkermann et cousin de Shannon Mulligan.
⛤ Pacte tissé avec Scox : Prince démon s'étant dissimulé derrière les brumes de Baal. Immortalité odieusement acquise, âme vouée à obéir et marcher aux côtés des Antiques. 38 ans d'âge réel ; 36 ans d'apparence.
⛤ ENAE VOLARE MEZZO ⛤
"I put a spell on you."
Facultés : ⛤ La Rougeoyante s'infiltre dans les corps et y bouleverse les hormones ; flèche apollonide : distille poison, fléau, mort, mais aussi fièvre rouge saphique. Chaos total.
⛤ Télépathe raisonnable : ne s'infiltre de préférence que dans les esprits des humains misérables. Capable de communiquer en pensée avec quiconque lui ouvre les grilles de son esprit. Savant fou ; capable désormais de connecter sa psyché aux êtres muets, cobras et crotales comme cobayes, corbeaux et autres créatures rampantes.
⛤ Herboriste né, sa maîtrise des potions n'a d'égale que celle de son mentor maternel. Capable d'élaborer des philtres complexes ; créateur infatigable de breuvages en tous genres.
⛤ La Rougeoyante se défend et protège son hôte plus férocement qu'elle n'attaque : limitée par la nécessité d'un contact physique. Sorcier doué au corps-à-corps, secondé par son aisance au maniement d'athamés et autres lames rituelles.
⛤ Chercheur d'artefacts, quémandé des Longue-Vies : détisseur de leurs malédictions et autres mauvais sorts.
Thème : The Way ⛤ Zack Hemsey.
⛤ VENGEANCE ⛤
"Before I die alone."
Pseudo : Nero
Célébrité : Ian Somerhalder.
Double compte : Sanford R. De Castro, Aliénor Bellovaque, Ian C. Calloway & Gautièr Montignac.
On a désormais l'habitude de voir les scénarios de qualité de Carm', et c'est super que Jean ait finalement été choisi à son tour. C'est un personnage d'une certaine sensibilité, et on sent que tu as injecté beaucoup d'éléments qui le rendent très attachant dans sa fiche. Malgré sa nature de vampire, l'origine de sa Sire et tout ce que peut impliquer son mode de vie, j'ai trouvé la lecture de sa biographie extrêmement agréable. Très fluide, elle se lit sans difficulté, mais au-delà du style c'est la manière dont tu as dépeint sa personnalité qui m'a séduit. On a envie de fréquenter Jean, qui dégage une certaine sérénité, un rapport avec lui-même qui paraît presque sain et équilibré. Je suis heureux que tu aies choisi de conserver son avatar de base, également. En somme, c'est un personnage très harmonieux de bout en bout, et c'est vrai qu'on pourrait presque regretter que tu ne nous aies pas fourni plus de moments de vie, plus de moments de ses voyages partout au travers du monde. De fait, tu n'as plus d'autre choix que de nous satisfaire en RP, où nous t'espérons prolifique. Puisse Jean et Elinor nous fournir notre quota de drama quotidien. Je t'ouvre officiellement les portes du jeu et je te souhaite de bien t'amuser parmi nous !
Voilà, tu es officiellement dans la famille et ça implique de grandes responsabilités mais aussi beaucoup de fun. (Mais pas trop, Eoghan risque de le tuer.) Bref, tu as maintenant accès à tout le forum, ce qui veut dire que tu peux créer ta fiche de liens pour te faire plein d'amis ! Tu peux aussi nous tenir au courant des avancées de ton personnage dans un carnet d'évolution, mais c'est facultatif. Si tu es pressé d'écrire et que tu n'as pas encore de partenaires, n'hésite pas à poster dans les demandes de RP ou à te lancer dans l'aventure du fil rp ! Et si tu te sens seul, tu peux lancer ton propre scénario ou créer des pré-liens. Tu as sûrement constaté que nous avons un système de points sur AA, nous t'invitons à découvrir comment en gagner et surtout, comment les dépenser. D'ailleurs, si tu as pris un prédéfini ou un scénario comme personnage, tu peux d'ores et déjà réclamer tes premiers points dans Collecter vos points.
Si tu as des questions, le staff est toujours à ta disposition pour y répondre. Et si tu veux un aperçu de la bonne humeur (pour ne pas dire folie) de nos membres, n'hésite pas à venir voir sur la CB ou à participer au flood ! Mais si on te fait un peu peur, n'hésite pas à demander l'aide d'un parrain ou d'une marraine pour t'intégrer. Ce sont des membres dévoués aux nouveaux !
Tout le staff d'Ashes Arise te souhaite donc la bienvenue dans ses rangs et à très vite pour les prochaines aventures !