Les perles du RP

Date d'inscription : 09/06/2017

Poto:

*Aspire l'air un grand coup. Inspire, expire.*

Louisiana Burning

Poto.exe a cessé de fonctionner. L'application ne répond plus. :rip:

Bon.
BON.
@Eoghan Underwood viens ici.

Déjà, avant tout, les gens sans prétention et pas parce que c'est un RP avec moi allez lire ce topic :

https://ashes-arise.forumactif.com/t1430-deus-ex-machina-o-dillon#55138

Secondo, je cite ce passage pour tout ce qu'il fait raisonner en moi et tout ce que ça transpire de talent et d'humanité et de ... tout :

Citation :: Tout Éveillé doté du don, capable de lire l’aura d’une créature telle que lui aurait senti les vagues d’atmosphère onduler tout autour. Comme la chaleur déforme les paysages, le goudron comme la terre sèche, le Tout si cher à son meilleur ami perdu était là. Il s’en voulait le cœur. Il se faisait dévotion personnifiée. Sans bruit, sans rien d’autre que ces murmures épars, bénédictions posées là. Le temps était venu de pardonner. Pardonner à Julianna. Lui pardonner les ordres maugréés ou criés à l’intention d’une Sylia mal à l’aise. Lui pardonner les mauvais regards, les commentaires désobligeants, l’apprentissage forcé auprès de Shannon, et lui pardonner jusqu’à sa mort, pour toute la zizanie qu’elle avait semé après son départ. Pardonner à sa mère. Pour les sévices, pour n’avoir pas su dire non, jamais, au prédicateur qui avait détruit un pan entier de sa vie. De leur vie, à tous (les noms de Nephtys et Morgane dansèrent un temps avec lui). Pour tout ce qui s’était dit, et tout ce qui ne s’était pas dit. Pour le respect absent, les punitions injustes, le rouge souillé et sa haine de la fille des Andros. Pardonner à son père. D’être parti. D’avoir cédé. De ne jamais l’avoir protégé comme il l’aurait dû. D’avoir préféré le bourbon, les missions et les contrats à la chair de sa chair, abandonnée entre les griffes d’une sorcière aux orbes sombres.
Enfin, pardonner à lui-même. La route était encore longue. Les épreuves sûrement nombreuses. L’homme le lui avait bien dit, après tout. Et ce qu’il avait pris pour un délire de marginal, pérorant sur l’existence comme tant d’autres s’y essayaient, se changeait lentement en une prophétie dont la recherche de la clef ne dépendait que de lui, et de lui seul.

Parce qu'on devrait tous se pardonner à nous-mêmes et tous pardonner à l'autre pour nous-même et que fuck, c'était beau à lire et que je mérite pas une ouverture pareille, un truc comme ça et que je ne sais pas comment je vais répondre mais bon, on va essayer :TT:

Merci pour ce moment comme dirait quelqu'un et merci d'écrire des trucs comme ça que ce soit pour moi ou d'autres, je suis si heureuse :TT:

Date d'inscription : 09/06/2017

EUH.

ALORS EUH.
D'abord tu te calmes. :eyes:

Et moi j'suis censé répondre quoi à ça en vrai ? :taggle:

Non mais écoute... Comme je t'ai dit, je savais ce que je voulais en écrivant cette intro, et j'avais vraiment peur de me casser la gueule ou de l'effet pétard mouillé. Je voulais que cet instant ait de l'importance.
Parce que deux ans après le massacre.
Parce que six mois après la Samain.
Parce qu'il se passe tellement de choses dans le crâne de ce malade mental qu'il fallait que je l'écrive.
Que j'en parle. Et je suis content d'avoir pu le faire pour la renaissance de Dillon.

Donc tu mérites parfaitement une "ouverture pareille" ça suffit ! Les perles du RP - Page 4 2474394479

Bisou.

Louisiana Burning

Date d'inscription : 09/06/2017

DP mais balec.

Tout ce post, de @Lilas Hirsch, même si le précédent par @Vinzent G. Henkermann, dans le genre était oof.

Ça servirait même pas à quelque chose d'en quoter un bout.
J'suis ému putain, c'est n'importe quoi.

Louisiana Burning

Déjà j'suis pas venu appuyer le poste plus haut mais OUI, @Lilas Hirsch tu m'as tuée et tu le sais déjà mais ... quel post magnifique qui tisse si bien la relation Eoghan/Lilas qu'on a hâte de voir officiellement prendre vie en RP et qui prouve que tu sais très bien nous foutre des feels dans la gueule donc TG et écris :eyes:

(Ouais je suis quelqu'un de très doux dans la vie)

SINON.

J'reviens pour la même personne mais en même temps, le mec squatte la moitié de mes RP, mon keur, ma vi, je suis officiellement une groupie hystéro comme une Claudette devant Cloclo, 'fin voilà, y'a plus rien à prouver quoi.

Admirons le talent de ces quelques mots qui ne sont qu'un échantillon de la beauté du poste d'@Aliénor Bellovaque, cette reine à l'âme torturée.

Citation :: L’Océan à perte de vue.
Les bancs de sable blanc, ou au jaune pâle et chaud.
La coque du navire, l’odeur de son bois.
Les voiles de la frégate.
Les cordes au chanvre déchirant les paumes imprudentes.
Sa cabine, intime, riche et étroite, aux coffres débordant d’armes et d’étoffes.
Le visage de son père, le visage de Charles, le visage de Thomas.
Les côtes normandes et ses falaises, écharpées, mordues par les flots.
L’écume du côté de la poupe, et les marsouins guidant la proue.
Les cris des mouettes et des goélands.

Et puis.

Le claquement du drapeau (noir).
La sonnette de l’alarme (le regard de Charles).
Les lames qui s’entrechoquent.
Le mousquet crachant les balles.
La défaite.
La terreur.
La mer, rougie.
La gueule des poissons aux dents énormes.
Ses cris, vagissements, supplications.
Les gorges ouvertes.
Les orbes en larmes.
Son rire.

Le feu de L’Espérance.
Les liens mordant sa peau.
La cellule aux barreaux sombres.
La paille. La crasse. La vermine.
Leurs sexes, allant et venant.

« Un… deux… trois… »

Quatre.
Cinq.
Six.

Une nuit, jusqu’à dix hommes sont venus.
Elle avait remarqué que lorsque le calme était enfin retombé, son ventre saignait, comme souvent alors.
Elle n’avait pas les moyens de se donner la mort, à l’époque. De toute façon, elle n’en aurait jamais eu le courage.

Et puis.

La révolte.
Le garde clément.
La fugitive, tombant en ruines.
La malaria.
Tremblante au milieu des flots.
Fièvre, frissons, froid, fatigue, faim.
Soif. Terriblement soif.

Devrais-je en dire plus ou les mots leurs puissances sont-ils suffisant ? Je crois que la deuxième option est la bonne les amis :sisi:

Je vous lis quasi tous, je vois des perles que je ne prends pas le temps de venir citer ici mais sachez qu'il y a des merveilles par ici. Alors j'en profite pour citer un morceau de RP d'@Inna Archos qui m'a tellement emportée dans son RP avec Eoghan :

Citation :: A cet instant exact, Inna ouvrit brusquement les yeux. Ces rêves se terminaient toujours ainsi. Elle avala machinalement sa salive, sans y retrouver la moindre saveur de sang, ou ce goût acide des boyaux brisés. Un imperceptible soupir quitta ses lèvres. Au-dessus de son corps allongé, les frondaisons des cyprès cachaient le ciel de Louisiane, comme un immense plafond d’un vert pur où bruissaient doucement, sous la caresse d’un vent chaud, les longues mousses espagnoles. La métamorphe reprenait lentement pied dans la réalité. Contre son dos, le sol spongieux et tiède du bayou frémissait sous l’impulsion des insectes innombrables, l’invitant à s’extirper de ses transes diurnes dans lesquelles elle se perdait de plus en plus souvent.
Les longues herbes folles caressèrent ses bras nus, guidées par une brise aux parfums entêtants de tourbe et de jacinthes d’eau. Des pattes fourmillèrent sur son ventre dénudé par un vestige de débardeur. Quelque chose de froid et de flasque escalada son tibia sans qu’elle ne daigna l’en chasser. Une mouche vint bourdonner dans sa tignasse rendue rigide par les restes de boue séchée. Toutefois, elle ne chercha nullement à se débarrasser de cette vie grouillante sur ce corps d’emprunt, cette marionnette humaine maladroite allongée dans la plénitude mélancolique du marécage.

Ainsi abandonnée dans l’étreinte des éléments, Inna s’apaisait enfin. Ce corps difforme n’était plus une gêne. A l’image de la nature l’entourant, il devenait tolérance, un objet de croissance immuable comme le cadavre pourrissant acceptant son rôle sans plainte, ni destruction.

Elle ferma à nouveau les yeux, laissant un scarabée gravir son visage. Ses ongles enfoncés dans la terre en captaient les pulsations minérales, et la tiédeur de la glaise l’enveloppait telles les paumes d’une mère aimante. De nouveau, ses propres pensées dérivèrent à la frontière ténue du rêve, où le chant des carouges s’alliait au chœur bruissant des clapotis aquatiques, et aux mouvements des amphibiens dans l’épaisseur des sédiments. La réalité menaçait encore de glisser hors de sa conscience.

On sent ici quelque chose de tellement naturel et intense, c'est tellement l'idée que je me fais d'un métamorphe, une bête dans un corps humain ne faisant qu'un avec son univers et pour le coup, avec le bayou. C'est tellement bien décrit que j'ai eu l'impression de voir la scène de la lumière aux ombres, à la peau pâle, au corps étendu, tout. C'était si cool à lire pour citer que ça parce que tout le post et le RP sont beaux.

Je peux pas tout citer mais y'a aussi The night is dark and full of terrors dont l'intro est magnifique. J'avais déjà adoré la scène qui décrit la relation entre @Mei Long et Gautièr dans la fiche de Monsieur mais j'ai trop hâte de suivre ça de plus près.

Je reviendrai pour citer davantage de gens parce qu'on a la chance d'avoir trop de belles plumes et de beaux persos et de beaux RP par ici et que j'vais avoir un peu plus le réflexe de passer par là pour mettre en lumière certains mots qui méritent d'être lus même par les non-stalkeurs Les perles du RP - Page 4 704791297

Out of context Nicola Alighieri a écrit:: Crois-en mon expérience. - il se tourne vers la blonde, l’invite à prendre position. - A plusieurs, c’est autre chose, non ?

J’suis deaaaaad. @Nicola Alighieri du coup, c’est mieux à plusieurs ? On veut en savoir plus de la part de notre aïeul ? :siffle:

Citation :: Au-dessus de ces feux, un petit placard, dont les saveurs parviennent à s’échapper même la porte close. Les épices, tu les as cherchés, longuement, à travers la ville. Au mur, une affiche du vieux Gabin, du gueulard de Ventura, avec ce titre fétiche « Touchez pas au grisbi.

» @Fadia El Mabrouk

rho bordel c'est beau, je peux pas expliquer, une justesse dans la construction de la phrase ça m'a donné la sensation d'un extrait de bouquin, j'ai adoré cette phrase, sa douceur, le calme, la mélancolie, le vide d'un silence de vie, y'a vraiment quelque chose qui m'a touchée, quand on aime ça s'explique pas, merci :brille:

Oh, merci

J'ai tenté de décrire Fadia à travers l'appartement, de lui donner corps autant que le personnage donne corps au lieu, qui crée cette bulle autour d'elle, ce lieu de recueillement alors qu'elle est dans un pays étranger à sa vie, à sa culture et qui, tristement, involontairement, ne veut pas d'elle. Un lieu calme, reposant, un peu triste en surface, mais derrière, qui cache une candeur et un amour infini.

Du coup, que ça te fasse ressentir ça, c'est que quelque part, j'ai réussi :heart:

Date d'inscription : 13/07/2017

Hélix a écrit:: « Déjà, si on ne parlait pas dans ton couloir, on serait plus tranquille. Alors respire un grand coup, par le nez, par la bouche, tu fais la position du chat si ça détend. Tout l'monde pense juste que j'suis une pute que tu payes donc relaxes. En tout cas la vieille peau l'pense. » Pas que ça te touchait particulièrement qu'on imagine de toi que t'étais une travailleuse du sexe. Tu avais sympathisé avec une fille ou deux en ville, c'était de braves meufs. Tu n'aidais en rien à sa situation sociale pour le coup. Mais tu avais le petit instinct de te dire qu'il préférait sûrement qu'on pense qu'il a plutôt envie d'se vider les couilles que de penser qu'il avait un rapport avec les surnaturels. « C'est grave au point qu'y a déjà deux personnes qui y sont passées. Je me voyais mal te parler de ça entre ton rayon pierres du Brésil et sauge blanche volée aux amérindiens. »

J'suis mort, Hélix elle a respecté zéro Eoghan c'est un crime contre l'humanité là presque :rire:

Adopte ces beaux scénarios !

En même temps, je me pose la question maintenant, est-ce que Eoghan a été respecté dans un RP ? Au hasard, il s'est fait arnaquer par Scox/Baal, il a été déclaré mort par son pote, sa propre disciple prépare un cataclysme dans son dos et un crocodile lui a dit qu'il sentait mauvais.

Le bilan n'est pas terrible quand même. :sisi:

Date d'inscription : 13/07/2017

Ah non mais j'vous en prie, roulez sur mon perso faites-vous plaisir apparemment c'est la mode. :roll:

Only God Forgives

"... et un crocodile lui a dit qu'il sentait mauvais." :rip:

Tes formulations à toi, bordel.

Ca me fait penser :

Alexandra a écrit:: "J’ai pris du whisky pas cher, ça a le même goût que la dépression."

Anaïs avait déjà attiré mon attention sur cette phrase mais putain, c'est si bien dit.

mais Hélix quoi ! Merci pour le fou rire ! *note de prendre soin un peu soin d'Eo le pauvre, il en prend vraiment plein la tronche en ce moment*

Date d'inscription : 09/06/2017

ARRETEZ TOUT. :boom:

Allez lire cette réponse de @Jake Hamilton s'il vous plaît.
Parce que franchement, on est sur de la qualité high level, là. Entre la rédaction telle quelle, la richesse du vocabulaire, la maîtrise de l'argumentaire et surtout : l'exploitation formidable de notre lore et les ouvertures phénoménales qu'il implique... ça fait vraiment plaisir quand tous vous utilisez les complexités de cet univers pour en tirer vos réponses, vos personnages, vos pistes de jeu. Et là, bah franchement... j'aurais jamais été capable de rédiger un post pareil et je ne voudrais pas qu'il disparaisse dans les limbes sans avoir été un minimum reconnu et consulté, parce que là je viens de prendre une leçon magistrale d'exploitation de mon propre terrain de jeu. Et j'dis bravo.

:tchin:

Louisiana Burning

@Jake Hamilton Je ne peux qu'approuver les dires d'Eo, tu sais magnifier le lore avec tant de brio. Ca fait très plaisir ce genre de poste ! :heart:

(Et vos deux plumes ensemble sont beaucoup trop belles, je peux en profiter pour le dire, surtout deux personnages comme ça.)

Comme si les talents de Jake étaient encore à prouver, voilà que ce vantard en rajoute une couche... :roll:

(T de la bomb bb tkt :heart:

)

Date d'inscription : 09/06/2017

Pendant ce temps-là à Shreveport :

Serguey Diatlov, l'enculeur du respect : a écrit:: Confortablement installé aux côtés d'Eoghan, il s'octroie la liberté de reculer le siège passager au maximum, afin d'offrir à ses jambes l'espace suffisant à la détente.
« Alors Choupette, tu m'emmènes où, sous ce cagnard ? Un endroit frais j'espère, j'suis plus habitué aux rudes hivers qu'à cette chaleur étouffante. Première fois qu'on va pas se bourrer la gueule entre couilles, alors faudrait pas me décevoir. Et t'as intérêt à conduire correctement. J't'ai à l’œil, et j'suis un juge implacable là-dessus. »
Une tape amicale sur le genou du sorcier, le clic caractéristique de la ceinture de sécurité enclenchée, un discret coup d’œil dans le rétroviseur pour vérifier le mouvement capillaire, et le voilà paré à une journée qu'il imagine riche en rebondissements et en révélations.

Euh.
Alors excusez-moi mais ça vous dirait de respecter mon perso un jour ou ça se passe comment ?

Louisiana Burning

Eoghan Underwood a écrit:: Alors excusez-moi mais ça vous dirait de respecter mon perso un jour ou ça se passe comment ?

Non.

Cordialement.

Date d'inscription : 17/12/2018

Prépare un thé et un mouchoir pour Eo, ainsi qu'une petite boite "Tiens, tu peux y déposer ton égo et ta fierté le temps que Serguey ait fini si tu veux :gni:

Oh ça vaaa, c'est gentil ! C'est mignon. Tout l'monde peut pas être aussi chiant comme la pluie que ton midget allemand, là.

Zach Solfarelli a écrit:: C'est mignon.

VOILA, merci.

En plus du coup, par raccourci, tu es la petite chatte de Vinzent. :gni:

Date d'inscription : 22/01/2021

Yago Mustafaï a écrit:: Il est l'ombre dans ton rétroviseur, l'étrange forme que tu aperçois par-delà ta fenêtre.
Ce visage anonyme, et que tu as pourtant fini par identifier parmi la foule.
Trop souvent croisé. Tu ne crois pas au hasard, Ethan. Ce faciès-là, tu le reconnais désormais. Tu possèdes cinq souvenirs distincts de vos rencontres, plus ou moins mémorables.
En réalité, il t'observe depuis bien plus longtemps. Et tu n'aurais pas assez de feuilles dans ton carnet à dessin racorni pour représenter toutes les scènes où vous furent les deux protagonistes. Car l'Immortel veille à demeurer en coulisses, tandis que tu vis sans te douter de ce qui attend sous les planches, jusqu'au faux pas que tu commettras forcément, une nuit. Car il n'apparaît que de nuit, n'est-ce pas ? L'as-tu remarqué ? L'accident. Près du garage. En bas de chez toi. Et ces dizaines et dizaines d'autres fois où tu ne l'as même pas remarqué. Perché à ta fenêtre. Accroché à un toit, à te suivre dans le noir. Dans l'ombre de l'établi, à ton travail.
Il est là. Il est toujours là. Mais ce sentiment de déjà-vu te gagne alors que tu le bouscules involontairement. Tu souris, visiblement peu rancunier, décidé à enterrer la hache de guerre. C'est ton expression. Il aimerait te rétorquer que tout ne fait que commencer, mais il se contentera de jouer à l'humain avec toi. Jusqu'à ce que ta perspicacité ne perce le masque et ne te révèle sa véritable nature.

J'étais pas prêt à ça moi ! C'est pas que j'ai eu peur, que j'ai scruté la moindre parcelle d'ombre dans mon salon, mais c'est tout comme... :what:

*Ajoute Ethan à la liste des personnages traumatisés* :gni:

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